Avec quel sérieux les entreprises traitent-elles la sécurité élémentaire de leurs postes de travail ? Une enquête réalisée par Kaspersky révèle que 4% d’entre elles utilisent un logiciel gratuit pour se protéger contre les malwares. Cette pratique est particulièrement répandue en France (dans 12% des entreprises consultées). Les entreprises allemandes se montrent plus prudentes : seule une sur cent emploie un antivirus gratuit. C’est également le cas dans les autres pays. Ainsi, aux États-Unis (2%), en Italie (2%), en Espagne (3%) et au Royaume-Uni (3%), le recours à des antivirus gratuits fait figure d’exception.
Les entreprises qui s’en remettent à des logiciels gratuits prennent un risque, comme le souligne Vincent Leclerc, Responsable département Consultant Sécurité et Avant-Vente chez Kaspersky Lab : « Les antivirus gratuits sont fiables jusqu’à un certain point. En effet, la menace réside là où les antivirus payants sont les plus performants puisqu’ils intègrent les corrections des toutes dernières menaces. Le problème d’un antivirus gratuit utilisé en entreprise est qu’il ne peut garantir un niveau de protection optimal. »
Dans de nombreux cas, ces produits non payants sont exclusivement destinés à un usage personnel, leur installation en entreprise étant interdite par leur licence. En outre, ils offrent souvent considérablement moins de fonctionnalités que les solutions commerciales d’entreprise. De plus, ils ne sont pas adaptés aux besoins des utilisateurs professionnels, notamment en matière d’administration centralisée ou de protection des machines virtuelles. Les entreprises désireuses d’optimiser la protection de leurs postes de travail doivent installer des logiciels spécialement conçus à cette fin, tels que Kaspersky Open Space Security. Ce dernier protège avec fiabilité les réseaux d’entreprise dans leur ensemble contre tous les types de risques informatiques.
De plus amples informations sur la sécurité informatique en entreprise sont disponibles sur www.kaspersky.com/beready/
L’enquête a été réalisée en ligne pour le compte de Kaspersky Lab en mars 2012, auprès de 820 informaticiens au sein d’entreprises européennes et nord-américaines comptant au moins 100 postes de travail. Ces entreprises utilisent actuellement des technologies de virtualisation ou prévoient leur mise en œuvre dans les 12 mois à venir.