Alors que les organisations du cinéma et de l’audiovisuel ont proposé lundi une série d’actions essentiellement préventives pour lutter contre le piratage, de son côté, la société des producteurs phonographiques demande à utiliser un outil informatique pour faciliter la répression des pirates.
Mis en ligne le 10 janvier 2005.
Prévention ou répression, le cœur des professionnels du cinéma et de la
musique balance entre les deux extrêmes quand il s’agit de piraterie
informatique.
Les organisations du cinéma et de l’audiovisuel français ont rendu
leur copie dans le cadre de la concertation sur la lutte contre le
piratage placée sous l’égide des ministères de la Culture et de
l’Industrie. Bilan de leur réflexion : le compromis.
Leur
série de propositions est axée principalement sur la prévention et
l’information de l’internaute, par le biais de campagnes de
sensibilisation et de communication auprès du grand public, notamment
envers les plus jeunes. Prônant une « riposte graduée » aux actes
illicites, leur ligne de conduite met également en avant le
développement de l’offre légale.