Free pionnier du dégroupage du réseau cuivre. Grâce à l’invention de la box par Free, la majorité des foyers français a accès à l’internet haut débit. En 2006, Free est le premier opérateur à avoir lancé un plan d’investissement de grande ampleur dans la fibre optique (FTTH) et l’équipement des plus grandes villes est en passe d’être finalisé. Néanmoins, l’amélioration des débits et des services ne doit pas être limitée aux seules grandes villes, mais doit concerner également les villes moyennes et les territoires plus ruraux.
Dans cette perspective, Free annonce trois initiatives concrètes :
- Free, qui a signé le contrat de co-investissement FTTH proposé par France Telecom, s’est engagé sur le déploiement des agglomérations de Brest, Reims, Le Havre et Dijon. Beaucoup d’autres villes et agglomérations suivront. Les premiers abonnés sur ces ZMD (Zones Moyennement Denses) devraient être raccordés début 2013.
- Free a commandé le raccordement et le dégroupage d’environ 1500 nouveaux répartiteurs (NRA) sur plus de 2660 communes, couvrant plus de 1,5 millions de lignes. Ces nouveaux répartiteurs vont s’ajouter aux 4500 répartiteurs déjà dégroupés par Free. Ce programme d’investissement, qui se déroulera sur les douze prochains mois, permettra à plus d’1,5 millions de ménages précédemment inéligibles d’accéder aux offres dégroupées.
- Free passe commande des premiers NRA-MeD (Montée en Débit) déployés par France Télécom et les collectivités locales. Cette opération permettra à Free d’installer ses équipements au sous-répartiteur, d’améliorer considérablement les débits proposés et de résorber des zones blanches ADSL. Le premier NRA-MeD dégroupé par Free sera livré au premier trimestre 2013.
Ces trois initiatives ont été rendues possibles par un travail coordonné du régulateur, de l’opérateur historique et des opérateurs alternatifs. Elles vont permettre d’améliorer rapidement la couverture numérique du territoire (généralisation des offres dégroupées, résorption des zones blanches) et de poursuivre l’effort de déploiement du FTTH de manière efficace (réseaux partagés), sans taxes et avec peu d’argent public.